Ingénieur diplômé du Centre universitaire des Sciences et Techniques de l'Université Clermont-Ferrand II (Polytech'Clermont-Ferrand), spécialité Génie mathématique et modélisation

Bac+5 Bac+5 Titre ingénieur Titre ingénieur NIV7 NIV7

RNCP4377

J'ai un diplôme "Ingénieur diplômé du Centre universitaire des Sciences et Techniques de l'Université Clermont-Ferrand II (Polytech'Clermont-Ferrand), spécialité Génie mathématique et modélisation"

Je sais faire les actions suivantes :

Description des emplois et activités visés Comme l’ensemble des écoles du réseau Polytech, l’Ecole polytechnique de l’Université de Clermont-Ferrand II a vocation à former et certifier des ingénieurs reconnus dans leur champ technologique spécifique. La pédagogie mise en œuvre par le réseau conduit à la capitalisation de compétences « métier » spécifiques. L’ingénieur en Génie mathématique et modélisation de Polytech’Clermont-Ferrand intervient sur une large classe de problématiques appartenant aux secteurs secondaire et tertiaire. Il est apte à spécifier, modéliser et simuler des systèmes complexes, impliquant du matériel, du logiciel, des chaînes de mesure, du calcul scientifique, de l’optimisation et des processus décisionnels. Il occupe des postes aussi bien en bureaux d’études que dans le secteur bancaire ou encore en recherche, là où le recours au calcul scientifique, à la conceptualisation et à l’abstraction est nécessaire. Les secteurs dans lesquels il intervient sont largement diversifiés : ingénierie, informatique, SSII, télécommunications, bioinformatique, banque, finance, assurance, industries manufacturières (automobile, transports, aéronautique, spatial)…etc. Le plus souvent en interaction avec des équipes d’autres domaines de spécialité ou d’autres champs disciplinaires, il exerce des missions d’ingénieur autant dans les grands groupes industriels qu’en PME – PMI et aussi bien en production qu’en Recherche & Développement. L’ingénieur, généralement en équipe et avec le concours de personnels qualifiés, assure la responsabilité d’activités telles que : • exercer une activité d’encadrement en entreprise du secteur tertiaire telle que SSI, banque, assurance…etc., qu’il s’agisse d’une grande entreprise ou d’une jeune entreprise innovante ; • exercer une activité d’encadrement d’équipes et une activité de gestion de production dans une entreprise manufacturière ; • exercer une activité de recherche dans un laboratoire public ou privé dans le domaine de la modélisation et de la simulation numérique, de l’informatique, des mathématiques appliquées…etc. ; • définir, organiser et encadrer une activité de R&D ou d’étude et développement en appui d’une unité de production ou d’une activité de service ; • gérer un projet industriel, animer et diriger une ou plusieurs équipes, dans un contexte local, national et international dans le respect du droit, de la sécurité et du développement durable ; • organiser des activités de veille stratégique ou des missions d’audit. L’ingénieur en Génie Mathématique et Modélisation est capable : • d’intervenir dans des domaines d’activité aussi divers que : les mathématiques appliquées, la recherche opérationnelle, les mathématiques financières, l’optimisation des processus, le traitement de l’information et des données, la mécanique, la bioinformatique, le traitement d’images…etc. • d’appréhender des problèmes dans leur globalité, de la phase d’analyse et de diagnostic jusqu’à la mise en œuvre des systèmes ; • de modéliser et de traiter numériquement la simulation de phénomènes complexes ; • de s’adapter dans un environnement industriel et à des problèmes très divers, qu’il s’agisse de gestion de production ou de processus financiers ou organisationnels ; • de participer à la conception de nouveaux procédés ou de chaînes de montage ; • d’assurer un conseil scientifique de haut niveau pour définir les besoins en matériels, en méthodes et en logiciels pour les entreprises ou les laboratoires de recherche ; • de conduire une veille scientifique et documentaire.

OÙ SUIVRE CETTE CERTIFICATION ?

Détails du diplôme

Quelles sont les compétences que vous allez apprendre mais aussi comment l'examen va-t-il se passer ?

Compétences attestées :

Description des compétences évaluées et attestées - Dimension générique propre à l'ensemble des titres d'ingénieur. La certification implique la vérification des qualités suivantes : 1. Aptitude à mobiliser les ressources d'un large champ de sciences fondamentales. 2. Connaissance et compréhension d'un champ scientifique et technique de spécialité. 3. Maîtrise des méthodes et des outils de l'ingénieur : identification et résolution de problèmes, même non familiers et non complètement définis, collecte et interprétation de données, utilisation des outils informatiques, analyse et conception de systèmes complexes, expérimentation. 4. Capacité à s'intégrer dans une organisation, à l'animer et à la faire évoluer : engagement et leadership, management de projets, maîtrise d'ouvrage, communication avec des spécialistes comme avec des non-spécialistes. 5. Prise en compte des enjeux industriels, économiques et professionnels : compétitivité et productivité, innovation, propriété intellectuelle et industrielle, respect des procédures qualité, sécurité. 6. Aptitude à travailler en contexte international : maîtrise d'une ou plusieurs langues étrangères, sûreté, intelligence économique, ouverture culturelle, expérience internationale. 7. Respect des valeurs sociétales : connaissance des relations sociales, environnement et développement durable, éthique. - Dimension spécifique au Réseau Polytech Les Ecoles d'ingénieurs du Réseau Polytech ont vocation à former et certifier des ingénieurs : • ayant des compétences « métier » largement reconnues dans leur champ technologique spécifique ; • dotés d’une grande ouverture d’esprit, d'une adaptabilité et d’une réactivité très importante du fait d’un fort brassage des cultures (largeur du champ de recrutement tant au niveau du profil qu’au niveau social) ; • aptes à diffuser dans le tissu industriel une « culture recherche » acquise par la proximité de laboratoires aux activités de recherche technologique et scientifique reconnues par les instances nationales ; • ayant de bonnes connaissances en sciences humaines, économiques et sociales, fruit d’un partenariat privilégié avec les Instituts d’Administration des Entreprises (IAE), composantes des universités. - Dimension spécifique à la spécialité Génie mathématique et modélisation : • L’ingénieur en génie mathématique et modélisation a une solide culture en mathématique, informatique et leurs applications. • Il dispose également d’une formation en sciences économiques et sociales, et en sciences humaines (langues vivantes, droit, économie, expression et communication). Il a acquis des compétences transversales grâce à des modules interdisciplinaires (logistique, ressources humaines, qualité, etc.). • Une ouverture à la recherche/développement peut se faire à travers des modules spécifiques (mathématiques financières, systèmes de production et optimisation, calcul scientifique, mécanique), de même qu’une connaissance de la vie de l’entreprise et une ouverture à l’international s’opèrent tout au long des deux stages (3 et 6 mois). • A la l'issue de sa formation, l'ingénieur est apte à : - formaliser un problème d’ingénieur en langage mathématique et informatique, - choisir et mettre en œuvre des techniques de résolution adaptées aux problèmes, - conduire un projet dans sa globalité, - communiquer de façon correcte à l'écrit et l'oral, - rechercher des informations pertinentes. Les techniques employées, en particulier dans le domaine informatique sont en constante évolution ; la veille technologique est donc plus qu'une nécessité, elle fait partie du travail de l'ingénieur dans cette discipline. - s'intégrer et s'adapter à des interlocuteurs variés. L'ingénieur en génie mathématique et modélisation est amené travailler dans des équipes d'application. Il doit donc être capable non seulement d'échanger des informations, mais aussi de collaborer avec des gens provenant de domaines divers (physique, mécanique, informatique...). Cet aspect est essentiel pour un travail en modélisation de phénomènes dont le domaine d'application n'est pas la spécialité propre de l'ingénieur en génie mathématique. • compétences attestées en sciences de l’ingénieur : En mathématiques : - analyse et modélisation mathématique d’un processus (aspects déterministes et aléatoires), - bon niveau en probabilités et statistiques (estimation, tests d’hypothèses, processus stochastiques et analyse de données), - capacité à formuler et analyser des problèmes d’optimisation et de recherche opérationnelle, - bonnes connaissances en mathématiques de l’ingénieur : équations aux dérivées partielles, traitement de signal, calcul scientifique. En informatique : - maîtrise des outils informatiques de base : algorithmique, langages scientifiques, programmation orientée objet, - connaissances avancées en bases de données et en infographie, - pratique de logiciels en statistiques : simulation numérique, optimisation, recherche opérationnelle et bases de données. En sciences humaines, économiques et sociales : - maîtrise de l’anglais, de la communication écrite et orale, - introduction générale au droit du travail et de l’entreprise, - concepts et théories économiques.

Voies d'accès à la certification :

Voies d'accès Composition des Jurys
Après un parcours de formation sous statut d’élève ou d’étudiant
Autorisé
Directeur de l’école, Directeur des études, Responsables des spécialités, enseignants-chercheurs, enseignants et professionnels
En contrat d’apprentissage
Non autorisé
Après un parcours de formation continue
Autorisé
Directeur de l’école, Directeur des études, enseignants-chercheurs, enseignants et professionnels
En contrat de professionnalisation
Non autorisé
Par candidature individuelle
Non autorisé
Par expérience
Autorisé
Directeur de l’école et correspondant VAE de l’école, enseignants-chercheurs, enseignants et professionnels - Dispositif prévu à partir de 2007

Segmentation de la certification

Cette certification ne se décompose pas en Blocs de compétences

Les modalités d'acquisition de la certification par capitalisation des blocs de compétences et/ou par équivalence sont définies par chaque certificateur accrédité qui met en œuvre les dispositifs qu’il juge adaptés. Ces modalités peuvent être modulées en fonction du chemin d’accès à la certification : formation initiale, VAE, formation continue. Ce titre ne fait pas partie des certifications décomposées en blocs de compétences.

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